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Allergies saisonnières : un plan d’attaque en 3 conseils

Le printemps est là, avec ses plaisirs mais aussi ses désagréments dont les allergies saisonnières font partie. Voici notre plan d’attaque en 3 conseils pour lutter efficacement contre les allergies.

Conseil n°1 : S’attaquer au problème de fond

L’allergie est un problème de fond, alors si vous voulez la traiter, il vous faudra viser la source. Même si cela est parfois plus long, il n’est pas envisageable de prendre en charge une problématique d’allergie sans traiter le médiateur principal : la flore intestinale. Effectivement, l’allergie est un problème immunitaire lié à un déséquilibre entre les immunités de défense et de tolérance, et qui s’installe en général dans les 3 premières années de vie. Notre flore intestinale régule à 80% l’immunité, ainsi, afin de traiter le fond du problème, il convient de comprendre pourquoi l’immunité dysfonctionne et de quelle manière la flore en est responsable. Ensuite, il faut procéder au rééquilibrage de cette flore si précieuse pour que la balance entre défense et tolérance se stabilise.

Conseil n°2 : Booster les anti-inflammatoires naturels

Dans l’allergie, la composante inflammatoire est importante. Parfois, même quand l’allergène n’est plus là, l’inflammation est lancée et persiste. Les symptômes s’installent alors durablement. Si vous êtes sensibles aux allergies saisonnières, augmentez, pendant les périodes à risque, les anti-inflammatoires dans votre alimentation :

  • Les oméga 3 : poisson gras, huile de colza, noix, amandes, graines de lin, graines de chia…
  • Les antioxydants : curcuma, cannelle, tomate cuite, chocolat noir…

Vous pouvez également, si les symptômes sont très forts, avoir recours à des oméga 3 en complémentation, ainsi qu’à de puissants anti-inflammatoires naturels comme le porphyral HSP issu des algues (par exemple le Proteochoc de Pileje) ou encore des extraits standardisés phytothérapeutiques telles que le cassis, le curcuma, la réglisse, le scrofulaire ou la reine des prés qui en plus à des propriétés décongestionnantes bien utiles en cas de rhinites allergiques.

Conseil n°3 : Choisir des anti-histaminiques naturel

Si vous souhaitez éviter la fatigue liée à la prise d’anti-histaminiques en traitement de fond, orientez-vous vers des molécules naturellement anti-histaminiques comme les extraits standardisés de fumeterre ou encore de plantain lancéolé qui en plus possède des vertus anti-inflammatoires, mais aussi des extraits de phycocyanine issue de la spiruline ou encore le magnésium. Ils sont plus longs en action mais ont beaucoup moins d’effets secondaires. Quel que soit le type d’anti-histaminique naturel choisi, et même si c’est en complément d’anti-histaminiques chimiques, il est important d’en utiliser et de les associer à des molécules anti-inflammatoires pour éviter l’inflammation chronique, car après 4 jours de réaction inflammatoire, l’inflammation à tendance à s’auto-entretenir.

Retenez surtout qu’une bonne préparation à ce changement de saison vous permettra de maintenir votre dynamisme et de vous sentir léger pour attaquer le printemps et profitez au mieux de ce regain de bonne humeur que nous apportent les beaux jours.

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